Dernier clin d’œil

4 avril 2025

Bonjour MC,

Haha!
Vous allez comprendre à la fin pourquoi je m’auto-questionne…

J’ai commencé à rédiger des publications sur LinkedIn il y a quelques années pour le plaisir.
Une membre du CA de l’ACMQ m’a approchée pour tenir une chronique dans l’infolettre.

Je n’étais pas trop excitée.
Je m’amusais avec mes petits textes.
Je pouvais avoir mon style rédactionnel, être rigolote, écrire quand je n’avais pas les kids, sans pression.

Après réflexion, j’ai proposé un courrier du cœur professionnel qui, je croyais, ne serait jamais accepté.
#Wrong!
Le CA a aimé…?!?

La chienne m’a pogné dès mon premier mois.
« Mais pour qui j’me prends pour donner des conseils? »
Et je me suis rappelée ce que je dis souvent à ma gang : « Si un projet te donne le vertige, c’est qu’il te pousse hors de ta zone de confort; GO, tu vas apprendre ».

J’ai donc pris chaque nouveau sujet comme un challenge.
Chaque fois, je faisais mes recherches, un premier jet, je peaufinais, je lançais dans l’univers à la limite du deadline.
C’était ma façon de garder Jeannie on the edge.
« Marie-Claude, ta chronique est appréciée »
« Hein? Pour vrai…? »

C’est toi qui étais ma seule motivation.
Je t’imaginais devant ton ordi, à trouver ça rought par moment.
Je sentais que tu avais besoin d’un petit cue, d’une tape dans le dos, d’un « You go girl ou boy ».
Et je me disais, si je peux juste motiver un humain, ça sert à quelque chose.

Après un an, j’ai l’impression que j’ai besoin, à mon tour, d’un ou une collègue du municipal pour m’inspirer, me fouetter le moral et la boîte à idées.
Je laisse donc la chance à un ou une membre de faire part de son intérêt au CA et de proposer, à son tour, sa folle idée de chronique.

Tu trouves ça weird de lever ta main?
C’est le bon feeling pour faire la différence.
Allez, j’ai vraiment hâte de lire ta première chronique.

MC

P.S. : Vous allez quand même me manquer.
P.S.S. : Si avec une chronique, j’ai réussi à t’aider, te faire sourire ou whatever quoi, n’hésite pas à me faire un fist bump sur le dancefloor au congrès.
P.S.S.S. : Bye pour vrai!

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